Immunité de groupe : manipulation par la peur et la culpabilité

Sources : https://jonrappoportwordpress.com/2017/03/06/herd-immunity-used-for-fear-and-guilt/

http://expovaccins.over-blog.corn/

SALUT LE TROUPEAU ! LE TROUPEAU EST TOUT !

Le concept de l’immunité de groupe (troupeau) pour la protection de la population est utilisé par les fans des vaccins comme moyen de créer de la culpabilité chez les personnes qui ne mettent pas leurs enfants dans les files d’attente pour recevoir les vaccins.

« Votre enfant non vacciné représente un danger pour mon enfant vacciné » !

Excusez-moi ?

Protéger des enfants qui sont déjà vaccinés ? Vraiment ?

Le petit Jimmy dont les parents ont décidé de ne pas le vacciner, pourra transmettre des maladies à des enfants qui sont déjà vaccinés ? Mais quoi ? Oh, vous voulez dire que ces enfants vaccinés ne sont pas vraiment immunisés ? Alors pourquoi les avoir vaccinés en premier lieu ?

Ce qui protège vraiment les gens de la maladie, tout en leur permettant de se rétablir de la maladie sans effets secondaires, c’est la puissance de leurs systèmes immunitaires.

Si une personne a un système immunitaire chroniquement affaibli, elle deviendra malade encore et encore, et peu importe combien de personnes autour d’elle sont vaccinées contre toute une série de maladies.

La santé des populations est essentiellement dépendante d’une bonne alimentation, d’un milieu de vie sain et harmonieux, comme d’une absence d’éléments toxiques dans l’environnement. Beaucoup de médecins savent ces choses mais refusent d’en parler parce qu’ils savent ce que cela pourrait leur en coûter.

La vaccination, en tant que stratégie de propagande, est utilisée pour médicaliser la population, pour faire comprendre au bon peuple qu’une bonne santé est essentiellement une question médicale.

Ce n’est nullement le cas.

Si demain deux choses se produisaient, elles modifieraient la santé dans n’importe quel pays industrialisé :

– En premier lieu, si des millions de personnes se décidaient à acheter des aliments sains ou cultivaient leur propre nourriture dans leurs propres jardins ou dans des jardins communautaires.

– En deuxième lieu, si les tribunaux rendaient la justice sous forme d’amendes de millions de dollars, et sous forme de longues, longues peines de prison pour les responsables des sociétés qui contribuent à augmenter les graves niveaux de pollution.

Note : pareille justice finirait par éliminer les cultures OGM qui dépendent de l’utilisation de pesticides toxiques.

Je ne fais pas de miracle. Je veux tout juste faire ressortir qu’avec l’adoption de ces deux seules mesures, les hôpitaux, les cliniques, les cabinets médicaux finiraient par se vider et le cartel médical finirait par faire l’objet d’un énorme virage.

La santé et la vie ne sont pas des fonctions médicales

Dans l’état actuel des choses, toute science qui prétendrait que la vie et la santé sont des fonctions médicales, serait une fausse science. Les gens qui auraient ces prétentions ne pourraient être que des menteurs, des imbéciles ou des criminels ou la combinaison des trois.

« Le taux de mortalité combiné de la scarlatine, de la diphtérie, de la coqueluche et de la rougeole chez les enfants de moins de 15 ans montre que près de 90% de la baisse totale de mortalité entre 1860 et 1965 a eu lieu avant l’introduction des antibiotiques et de la vaccination généralisée. Cette récession peut, en partie, être attribuée à l’amélioration des conditions de vie (logement, alimentation, eau potable, égouts, etc.), à la diminution de la virulence des micro-organismes. Mais de loin, le facteur le plus important a été une plus forte résistance de l’hôte en raison d’une meilleure nutrition. » Ivan ILLICH, « Némésis Médicale, l’expropriation de la santé, Seuil 1975 ».

La résistance de l’hôte dépend essentiellement d’un système immunitaire fort

Allez dans n’importe quel pays du Tiers Monde en proie à la pauvreté et vous trouverez : un approvisionnement en eau contaminée, famine, manque d’assainissement de base, régions surpeuplées, terres agricoles volées et de grands programmes de vaccination. Résultat : des maladies chroniques. Peu importe quelles étiquettes on peut mettre sur ces maladies, elles persisteront jusqu’à ce que ces facteurs soient modifiés.

Prenez le cas d’une communauté riche comme celle de Beverly Hills. Combien de médecins oseraient dire à leurs patients : « Regardez, votre enfant a besoin d’air frais, de soleil, d’exercice. Il faut qu’il arrête la malbouffe, comme aussi de visionner des vidéos des heures et des heures par jour. Jusqu’à ce que cela arrive, il n’y a rien que personne ne puisse faire pour lui. […].

Les éléments de base qui favorisent un système immunitaire sain et fort dépasseront toujours les vaccinations et autres interventions médicales. On peut ne pas être d’accord avec ce fait, on peut l’attaquer, mais personne ne pourra le changer.

Avec un système immunitaire naturellement fort, vous ne pouvez tomber malade, et si la chose arrive, vous récupérez sans effets secondaires durables. Avec un système immunitaire affaibli, vous pouvez tomber malade suite à pas mal de causes.

Avis aux mamans du monde : essayez d’avoir davantage recours à votre bon sens et à vous servir de votre intelligence dans toutes ces situations. Pensez à ce que vous devriez faire pour renforcer le système immunitaire de vos familles. Demandez-vous pourquoi vous vous inquiétez que des enfants non vaccinés puissent représenter un danger pour votre enfant vacciné, alors qu’il est, comme on vous le dit, protégé ?

Ne vous laissez plus induire en erreur par cette gigantesque stratégie de socialisation qu’on appelle la vaccination.

John Rappoport : « L’entreprise médicale est devenue un danger majeur pour la santé…Un appareil technique imposant allié à une bureaucratie médicale «égalitaire» a créé l’illusion dangereuse d’une corrélation «naturelle» entre l’intensité de l’acte médical et la fréquence des guérisons. Cette hypothèse, qui fonde pourtant la pratique médicale contemporaine, n’a jamais été prouvée scientifiquement… La médecine est une marchandise qui échappe à tout contrôle de coût, comme à tout contrôle de qualité. »

Le Courrier d’ALIS 21 n° 97 juin – juillet – août 2017