Manifeste pour la liberté de vaccination

 

Politique vaccinale criminelle : la rétention de faits scientifiques incontournables

[…] La théorie envisagée par les vétérinaires semble malheureusement être confirmée en médecine humaine, avec la survenue dramatique de cancers après un vaccin contenant de l’aluminium. […]

Pendant ce temps, bénéficiant de l’immunité que leur accordent les instances sanitaires internationales, les laboratoires pharmaceutiques poursuivent la commercialisation et l’élaboration de nouveaux vaccins très lucratifs faisant appel à cet hydroxyde d’aluminium,
La myofasciite à macrophages continue de faire l’objet de nombreux travaux dons le monde, tandis que l’aluminium poursuit sa lucrative carrière commerciale, 0n le retrouve ainsi dons les laits maternisés, dans le traitement des eaux, et bien entendu toujours dans les vaccins, mais plus dans les antitranspirants, à en croire la pub télévisée,
Contrairement aux affirmations de nos autorités et de nos experts qui affirment que la MFM est une maladie franco-française : celle-ci est aujourd’hui recensée dans 19 pays, et « les diagnostics sont encore en dessous de la vérité » […]

2009 : découverte de la perméabilité de la barrière hémato-encéphalique

Poursuivant leurs travaux, Chris SHAW et son équipe confirmaient, en 2009, que « La neuro-toxicité prouvée de l’hydroxyde d’aluminium et son ubiquité relative en tant qu’adjuvant semblent justifier une surveillance accrue de la part de la communauté scientifique. […] L’hydroxyde d’aluminium constitue un danger pour les enfants vaccinés, d’une part a cause de l »‘effet retard » de cette substance, d’autre part car la barrière hémato-encéphalique, qui protège leur cerveau, reste ouverte jusqu’à l’âge de 2 ans et demi. La toxicité de l’aluminium représente donc un danger pour le rythme du développement du système nerveux central. »

Ajoutons qu’à la suite des travaux du Pr. Leif SALFORD en 2001, nous savons que les ondes électromagnétiques parasites – comme celles des téléphones portables, des antennes relais ou encore des consoles de jeux, du Wifi et prises CPL – ouvrent la barrière hémato-méningée après un certain temps d’exposition et permettent ainsi le passage dans le cerveau de la sérum-albumine, laquelle transporte l’aluminium, ce qui faisait craindre à ce chercheur la survenue de maladies d’Alzheimer dès la trentaine chez les adolescents exposés à ces ondes dès l’âge de 10 ans [7].

Les troubles cognitifs de la MFM sont bien organiques, donc liés à l’aluminium

En 2009, le Pr François-Jérôme AUTHIER, de l’hôpital Henri-Mondor de Créteil, a cherché, avec son équipe, à déterminer les causes des troubles cognitifs dont souffraient les patients atteints de myofasciite à macrophages. « Quand on suit les patients, on se rend compte qu’ils ont des troubles de mémoire, des difficultés a fonctionner. Deux hypothèses s’offraient à nous : les troubles cognitifs sont causés par la fatigue et la douleur, ou sont le reflet d’une pathologie générale. »

Après avoir soumis les patients à une batterie de tests neuro-psychologiques, les résultats ont démontré qu’il s’agissait d’une atteinte cognitive spécifique, qui n’est liée ni à la fatigue, ni à la douleur, ni à la dépression. Le problème est donc organique : le cerveau est lésé, son fonctionnement altéré. Ce type d’atteinte du système nerveux a déjà été observé et identifié chez des malades souffrant d’atteintes organiques acquises, de type toxique ou inflammatoire, chez les soudeurs et les hémodialysés, exposés à l’aluminium. Le fait est troublant, pour ne pas dire plus…

2O1O : preuve que l’aluminium vaccinal migre dans le cerveau

En 2010, en utilisant des protéines fluorescentes couplées à de l’hydroxyde d’aluminium, le professeur Romain GHERARDI est parvenu à suivre le parcours de l’adjuvant injecté dans le muscle de la souris. 50% des particules d’aluminium injectées se retrouvent successivement dans les ganglions lymphatiques, dans le sang circulant, et à partir du 21ème jour, dans le cerveau, où elles s’accumulent inexorablement. « On s’achemine actuellement vers l’idée que certaines personnes auraient, en raison de leur âge ou d’un terrain génétique particulier, une propension particulière à développer une inflammation musculaire et cérébrale induite par l’hydroxyde d’aluminium. »

La recherche fondamentale, capitale pour la compréhension de ces adjuvants utilisés dans de très nombreux vaccins, doit se poursuivre, mais pour l’instant, l’équipe de Créteil est toujours en attente de financement public. L’Afsspa, qui a traîné des pieds pendant des années, et remplacée par la nouvelle Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), devait statuer sur un appel d’offre relatif à ces recherches en septembre 2012… […]

Le Courrier d’ALIS n°92 -mars-avril-mai 2016