Excellentes nouvelles sur le front des vaccins !

Le Conseil d’Etat a pu être saisi suite au succès de la pétition sur le vaccin DTP (diphtérie, tétanos, poliomyélite) emmenée par le Pr. JOYEUX et l’IPSN (Institut pour la Protection de la Santé Naturelle). Encore merci à tous d’avoir signé cette pétition.

Tenez-vous bien : Le Conseil d’État a enjoint au gouvernement « d’assurer la disponibilité des seuls vaccins obligatoires » sans qu’ils soient automatiquement associés à d’autres vaccins facultatifs.
Le gouvernement a quatre mois pour s’exécuter !

Les explications du journal Le Monde :

Lire l’article complet : http://mobile.lemonde.fr/sante/article/2017/01/16/l-etat-bientot-contraint-d-assurer-la-disponibilite-des-seuls-vaccins-obligatoires_5063638_1651302.html

 

Une lectrice nous écrit :

« Je ne vois pas du tout où sont les « excellentes nouvelles » car les vaccins
non obligatoires deviendront obligatoires, donc ils resteront associés. C’est juste la formu-lation qui change, mais pas les faits. »

Réponse : L’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle a publié un article : « Victoire de la démocratie et de l’État de droit ! » dans lequel il souligne que selon la décision du Conseil d’État n°397151 (http://www.conseil-etat.fr/Decisions-Avis-Publications/Decisions/Selection-des-decisions-faisant-l-objet-d-une-communication-particuliere/CE-8-fevrier-2017-M.-B) l’État dispose de six mois pour obliger les laboratoires pharmaceutiques à proposer un vaccin qui ne couvre que les trois maladies obligatoires : la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite.

[…] mais les autorités pourraient forcer tout le monde à se faire vacciner contre les trois maladies prévues à l’heure actuelle, plus l’hépatite B, la coqueluche et l’influenzae B. […]

Il faut bien comprendre les grands enjeux liés à la décision du Conseil d’État. […] Après avoir nié l’existence du problème, avoir refusé d’en parler, avoir dénigré les requérants, avoir attaqué la réputation du professeur Henri Joyeux (saluons son courage !), les médias se sont finalement décidés à commenter ce problème qui touche l’ensemble des Français.

[…] La vérité est que, dans cette histoire, c’est votre détermination qui a fait la différence. C’est vous qui avez créé l’information.

Que les journalistes la dénigrent ou qu’ils la commentent ne change pas grand-chose. Cette affaire nous montre que si les médias sont utiles à l’industrie pharmaceutique, dont ils relaient les positions, ils ne servent aucunement la société civile.
Nous le savions. Mais cela se confirme un peu plus chaque jour : le 4e pouvoir existe, mais il est au service des puissants de ce monde.

En revanche, le Conseil d’Etat et le rapporteur en particulier ont montré leur compétence et leur indépendance.
La séparation des pouvoirs (théorie développée par le philosophe Charles Louis de Montesquieu au 18e siècle) a été respectée dans cette affaire.

La justice, incarnée en l’espèce par le Conseil d’État, a sanctionné le gouvernement. Pouvoir judiciaire et pouvoir exécutif sont en concurrence pour permettre la protection des citoyens. C’est là un des principes fondamentaux des démocraties modernes. Le fait qu’il soit encore respecté est à souligner.
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